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Quand ton enfant est surdoué !

Voici un beau témoignage venu du Québec qui a le mérite de présenter quelques particularités et signes révélateurs à prendre en compte chez le tout jeune enfant précoce.

Quand ton enfant est surdoué

Ce témoignage nous vient en droite ligne du Québec. C’est celui d’Anaïs Leclerc-Gignac qui le publie sur le blog La parfaite maman cinglante.

Anaïs est la maman d’un petit garçon surdoué. Dans son récit, elle nous raconte d’abord tout ce qu’elle n’a pas vu et qu’elle s’explique seulement aujourd’hui. C’est un cas fréquent chez les jeunes parents d’un premier enfant qui manquent souvent de repères pour détecter le comportement hors norme de leur bébé ou de leur jeune garçon ou fille. Notamment lorsqu’il n’y a pas encore d’enfants dans la famille élargie ou dans l’entourage amical.

Au début je ne savais pas. Comme tout parent je trouvais mon fils intelligent, drôle et parfait avec son esprit vif. Un enfant qui dit ses premiers mots à neuf mois, c’est pas conventionnel, disons-le , mais c’est tellement mignon. Un enfant qui fait déjà de courtes phrases à dix-huit mois, sans fautes de diction et sans buter sur aucun mot, c’est plaisant. Un enfant de deux ans qui a le niveau de langage d’un enfant de quatre ans, c’est spécial mettons, mais quand tu n’as pas de comparatif tout ça peut te sembler pas mal normal.

Suit toute une série d’exemples que je vous laisse découvrir sur l’article original. Comme souvent, les ennuis et les interrogations commencent avec l’école.

Et puis l’école est arrivée. Comme un cheval au trot. Et mon adorable fils s’est transformé en monstre. Une tornade. Non, un ouragan d’émotions, de crises, de pleurs, d’insécurité, d’opposition. Un volcan en éruption de maman-je-veux-pas-aller-à-l’école-c’est-plate-on-apprend-rien.

T’sais, mon fils pensait apprendre la physique quantique – j’exagère à peine – alors qu’il apprenait plutôt à tenir des ciseaux. D’un ennui to-tal pour mon petit intello. Te dire comment, comme mère, je me sentais dépassée et complètement découragée par la situation. Ouf, et j’avais pas fini.

Tout les parents qui ont vécu cette situation comprendront le désarroi et l’inquiétude qui peuvent étreindre une maman ou un papa lorsqu’ils voient leur enfant, si vif et pétillant jusque là s’étioler et se replier sur lui-même. Les soucis ne font alors que commencer et, faute de réaction adaptée, pourront s’étendre sur des années. Voilà pourquoi le témoignage d’Anaïs, notamment dans sa première partie mériterait d’être porté à la connaissance de tout jeune parent.

Lire le témoignage en entier sur le blog de la maman parfaitement cinglante

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