Bonjour,

Je vous suggère une position qui serait celle de la prudence, et qui consisterait pour l’équipe éducative à conserver une part de doute sur le diagnostic établi, tellement il est parfois difficile,de faire la’part des choses entre hp et tda. En plus votre fille est encoe jeune et sa sécurité affective est aussi très importante dans la passation des tests, et a pu jouer en sa défaveur. Je vosu mets un lien vers un article que vous pourriez faire lire à l’équipe enseignante : https://www.enfantsprecoces.info/quel-lien-peut-on-faire-entre-tres-haut-potentiel-intellectuel-et-troubles-de-lattention/
Partant de là, rien ne les empêche de faire faire des immersions dans la classe supérieure à votre fille pour voir si elle est plus attentive, plus stimulée. De votre côté vous pouvez aussi réfléchir à donner des indications pertinentes aux enseignants sur ses besoins : qu’aime t-elle faire, comment s’occupe t-elle…lit- elle etc… De quoi est-elle demandeuse ? Si elle parvient par exemple à passer des heures sur un puzzle ou un jeu de société cela peut vouloir que le déficit d’attention annoncé ressemblerait plus à un manque de stimulation.
Un autre facteur à prendre en compte en milieu scolaire est l’ambiance de la classe : le bruit, l’agitation peuvent perturber des enfants très sensibles à ces perturbations, cela vaut pour une partie d’entre eux qui sont dits hyper-sensibles et qui évolueront bien lorsque leur environnement se révélera propice. Ma fille par exemple a du mal à interagir avec les autres pendant la récréation car elle dit que c’est trop bruyant, cela se passe mieux en classe.
Mon conseil est donc de tenter de dresser un tableau de ce qui plaît et de ce qui ne convient pas à votre fille, afin que les enseignants puissent trouver une solution favorable qui ne soit pas juste une solution par défaut qui ne tienne pas compte de ses capacités. Tentez,la discussion à l’aide d’exemples concrets.