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Précocité intellectuelle, une affaire de famille ?

A travers les histoires de Jeanne et Anne-Marie, le site Consoglobe aborde aujourd’hui la question du surdouement dans un cadre familial.

Précocité intellectuelle, une affaire de famille ?

Le site Consoglobe nous rapporte aujourd’hui les témoignages de Jeanne et Anne-Marie qui, toutes deux, ont été confrontées au sujet de la précocité intellectuelle et du surdouement dans leur famille.

C’est l’occasion d’aborder le cas de ces parents qui découvrent qu’ils sont surdoués après la détection de de leur enfant. Une situation qui se révèle parfois délicate à gérer mais qui permet à certaines familles de mieux fonctionner et à leurs membres d’avancer ensemble sur la voie d’une meilleure compréhension mutuelle .

Pour Jeanne aussi, 32 ans et mère de deux petits garçons surdoués, la précocité, c’est une histoire de famille.  C’est elle qui a passé les tests en premier à la suite d’une évaluation de compétences pour son travail. Lorsque l’institutrice de son fils lui explique qu’il « ne veut pas faire ce qu’on lui demande », elle se questionne. Après avoir observé son comportement, elle décide de le faire diagnostiquer. Ses deux garçons se révèlent précoces.

Jeanne repère ensuite des hauts potentiels dans sa famille. Mais ça reste un peu « tabou ». Puis… son mari : « Il s’est petit à petit reconnu dans les caractéristiques intellectuelles de nos enfants. S’il ne voulait pas en entendre parler au départ, il a ensuite fait un test pour mettre des mots sur une ‘différence’ qu’il sentait lui aussi depuis longtemps. »

Et vous, l’identification de votre enfant en tant que surdoué vous a-t-elle mené à la prise de conscience de votre propre surdouement ? A-t-elle agit comme un révélateur pour d’autres membres de la famille ? Quelles en ont été les conséquences ? Si vous le souhaitez, discutons-en à travers vos commentaires.

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7 commentaires

  1. Bonjour,

    Je ne suis pas diagnostiquée, mais suite au test de QI que ma fille a fait à l’âge de 9 ans, je me suis posé bcp de questions à mon sujet, car nous avons bcp de point commun, ainsi que chez pour mon mari qui lui doit l’être aussi. Donc comme on dit « les chiens ne font pas des chats ».

  2. Bonsoir

    Nous nous serons fixer fin avril. parent d’un petit garçon de 5 ans très vif, curieux, avec capacité de mémorisation assez phénoménale mais surtout avec un niveau de début de CE1 alors qu’il est en GS et de la fin de l’année.

    Je n’ai jamais été testé ( ce n’était pas trop dans les mœurs en étant enfant) mais je dois avouer ne pas avoir eu beaucoup de difficulté et m’être pas mal reposer sur mes lauriers (booouuh pas bien)

    L’essentiel être bien dans ses baskets

  3. Bonjour,
    Notre famille a été bouleversée l’an dernier quand nous avons consulté un neuropsychologue pour notre fils de 7 ans. Nous pensions qu’il était « bête » et nous nous faisions beaucoup de soucis. Quelle n’a pas été notre surprise quand le psy nous a appris que notre garçon était un enfant THP (très haut potentiel)! Heureusement que nous étions assis… Après pas mal de livres et de sites internets nous avons trouvé un semblant d’équilibre et surtout retrouvé une sérénité dans notre quotidien. Après tous ces éclairages sur le sujet, nous avons fait tester notre fille de 10 ans et sans surpris elle est HP.
    Je suis persuadée que mon mari est également HP et je me pose des questions sur moi.
    Je me rend compte que je connais beaucoup de personnes HP et que ce n’est pas si rare, mais il est difficile d’en parler donc on se sent isolé malheureusement.

    Aline

  4. Bonjour,
    Notre fille de 6 ans vient d’être diagnostiquée HP et bien sûr, cela nous pose beaucoup de questions sur la manière de réagir et de l’aider à appréhender ses difficultés mais également beaucoup d’inquiétudes sur notre capacité à pouvoir lui apporter toute l’attention dont elle a besoin. Cela nous a également renvoyé à notre propre parcours. Avec mon mari, nous avons tous les deux sauté une classe (la grande section de maternelle). Nous ne nous souvenons pas avoir passé des tests mais qu’il s’agissait d’une demande du corps professoral du fait de notre ennui manifeste en classe. Nos parents n’ont jamais porté d’attention particulière à nos capacités d’adaptation ou d’apprentissage et nous avons gardé notre année d’avance tout au long de notre parcours scolaire. Peut-être étions nous également précoces ? Dans tous les cas, cela nous rassure pour notre fille de le penser et de voir que nous avons réussi à devenir des adultes relativement équilibrés (si cela peut avoir un sens !) et surtout épanouis et heureux de vivre ! En somme, cela nous aide à dédramatiser la situation qui nous paniquait initialement.

  5. Bonjour,

    apparemment oui, les chats ne font pas des chiens !
    Après le bilan de mon fils, j’ai passé les tests, (sans y croire car ma scolarité est très standard et je n’ai jamais excellé dans quoi que ce soit…). A mon étonnement, je suis aussi une personne à haut potentiel. Dans le rapport, la psychologue parle éventuellement d’inhibition intellectuelle. Cette expression me perturbe beaucoup.
    Mon mari a ensuite passé les tests. Il a ce profil aussi. Ma soeur aussi.
    Ca fait donc trois adultes repérés pour un enfant. Et d’autres membres de la famille ont pris rdv.
    Nous ne sommes pas allés voir les mêmes professionnels. Ce qui aide à me convaincre un peu plus. Car c’est très difficile d’y croire je trouve.
    Alors merci à ces enfants qui nous mettent sur une voie aussi inattendue qu’intéressante !!!

  6. Bonjour,

    Suite à la détection de la précocité de notre fils, je me suis beaucoup retrouvée en lui aussi. Même si à son âge cela n’était pas aussi flagrant que lui. Ma fille vient d’être détectée précoce aussi mais c’est tout différent par rapport à mon fils et là, c’est mon mari qui se retrouve beaucoup dans ce qu’elle est. Cela sera certainement toujours une énigme, nous ne pensons pas nous faire tester.

  7. Nous avons fait tester notre fille vers 5,5 ans et le résultat était bien au-dessus de la moyenne mais à la marge du haut potentiel. Pourtant « qqch » dans mon esprit me disait que c’était « la » bonne voie pour a comprendre, j’ai un peu lu tout ce qu’il y a sur le sujet. Ensuite grands doutes de ma part: le test n’étant pas clair est-ce que je m’engageais dans une diretion complètement fausse… mais il y avait ce petit qqch… je me suis dit que si je savais où me positionner au nivequ du qi ça m’aidrait à accompagner ma fille.
    Quelle surprise de recevoir un résultat positif….. surtout que et bien ma fille n’est pas ma fille au sens génétique .. donc quid de l’hérédité dans tout cela….

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