Caméléons, adaptables, discrètes, bonnes élèves, autant de qualificatifs volontiers associés aux fillettes et adolescentes surdouées qui masquent parfois des personnalités plus complexes.
C’est un fait, les petites filles et adolescentes surdouées sont mois souvent identifiées comme telles que les garçons par leur entourage scolaire ou familial. Deux témoignages de mamans soulèvent les difficultés que cela engendre et l’importance d’une identification précoce.
Le témoignage de Virginie Cotel nous permet de mieux comprendre ce que peuvent ressentir les petites filles et les adolescentes surdoués.
Le journal Ouest France publie aujourd’hui sur son site le témoignage de Marie, la maman de Sarah, une jeune fille à très haut QI de 12 ans.
Ma petite fille subit depuis des années l’incompréhension du système scolaire face à sa précocité pourtant avérée.
Dans sa dernière lettre d’information, le Woman’s Institute of Monaco, aborde le sujet du surdouement et notamment celui des femmes surdouées.