Pour l’occasion, l’animatrice recevait Monique de Kermadec, psychologue clinicienne et spécialiste de la question, ainsi que Vincent, qui a découvert son haut potentiel tout récemment, à l’âge de 42 ans et a donc vécu une bonne partie de sa vie sans être au courant de sa particularité tout en sentant différent depuis longtemps.
Faites-vous partie, sans le savoir, des 2 % de la population pourvus d’un Q.I supérieur à 130 ? Vous sentez-vous différents, en décalage avec le reste du monde ? Êtes-vous dotés d’une curiosité aiguisée et d’une imagination débordante ?
Je vous invite à visionner l’émission maintenant sur EPI et à en discuter à travers vos commentaires ou à partager votre expérience si vous le souhaitez.
Depuis que ma fille a été identifiée hpi, nous essayons de l accompagner au mieux et j avoue parfois qu il y a des choses qui résonnent en moi . D une certaine manière, depuis peu, plus on avance pour l aider à se comprendre et mieux je me comprends.
Pour ma part j ai sauté une classe et j ai toujours eu l impression d être en retard et d être plus lente que les autres. Si on m avait expliqué mon fonctionnement, je ne serai pas construit avec l idée que je ne mérite pas cette place.
Aujourd’hui, le fait d avoir une considération et une approche différente pour ma fille, j ai l impression indirectement de me réparer.
Se détacher de sa propre éducation pour créer quelque chose de différent avec ses enfants est un défi difficile, mais c est une quête d autonomie.
Bonjour,
Oui en effet, la découverte du haut potentiel des enfants est souvent l’occasion de refaire nos propres parcours avec d’autres clés !
Autrement avec les enfants cela crée un lien fort et une forme de communication complice parce qu’on se sent en phase avec eux.