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Pays de la Loire Enfants Précoces

Des conseils ?

8 sujets de 1 à 8 (sur un total de 8)
  • A.C.
    Participant

    Bonsoir à toutes et à tous,

    Je me suis inscrite il y a maintenant deux mois sur le site. J’ai pris le temps de lire beaucoup de discussions et de me renseigner un peu partout sur internet… Je me permets de poster ce message (je crois qu’il va être long) car je pense que vos avis pourraient m’éclairer.
    Nous habitons en Vendée et sommes parents d’un petit garçon de 5 ans ½ qui est en grande section de maternelle. Nous avons constaté un net changement dans son comportement en début d’année scolaire.

    Tout d’abord il n’était pas ravi à l’annonce du nom de la maîtresse (qu’il avait déjà eu un jour par semaine l’année dernière) qu’il allait avoir pour quelques mois en remplacement en début d’année. Nous savions déjà que ça « ne passait pas », car l’unique jour hedomadaire l’année dernière était généralement celui des « je ne veux pas aller à l’école ».
    Dès la première semaine d’école, il y a eu de grande colère lorsque je le récupérais en fin de journée, qui se terminaient en gros chagrin puis finissaient par se calmer avec un calin ou une histoire après de longues minutes (de 20 à 40). Ça a été le retour des « je ne veux pas aller à l’école » et l’apparition des « est-ce qu’on pourrait refaire l’école à la maison » (en parlant du confinement). Le soir la seule chose qu’il nous racontait de sa journée d’école c’était que la maîtresse l’avait grondé ou mis au coin… Nous voyions bien que ça lui pesait. J’ai finis par aller lui parler à la fin de la troisième semaine pour comprendre un peu ce qui se passait. Elle m’a dit être très stressée et fatiguée par la situation sanitaire, m’a parlé d’un groupe classe agité. En tout cas il n’y avait visiblement pas de problème particulier avec notre fils.
    Pourtant je ne pouvait pas m’empêcher de penser que quelque chose clochait en voyant mon petit bonhomme mausade et en l’entendant répondre « je ne sais pas, parce qu’elle a l’air tout le temps triste » à la question de sa mamie « elle est gentille ta maîtresse ? »…

    Ce sont donc ces réactions à la rentrée qui m’ont un peu inquiété, et alerté. En en discutant avec des amies, l’une d’elles détectée haut potentiel à l’âge adulte nous a conseillé de nous renseigner sur le sujet et de prendre note des choses qui nous semblaient inhabituelles dans son comportement, ou en décalage avec le comportement des autres enfants, ce que j’ai commencé à faire.

    Mon fils a mis très longtemps à « bien dormir », il y avait des réveils réguliers la nuit jusqu’à ses 4 ans. Bébé il faisait des siestes très courtes. Il n’a pas marché très tôt (vers 18 mois), après avoir mis longtemps à se mettre en position assise. Entre les deux, il « glissait » sur les fesses pour se déplacer. Au niveau du langage, j’ai souvenir que les gens nous disaient qu’il parlait bien. À 14 mois, il disait sans cesse « r’garde » en pointant du doigt tout ce qui l’intéressait, cherchant notre regard, notre sourire ou notre réponse. Il aimait déjà beaucoup les livres, et y passait plus de temps qu’avec ses autres jouets. Il était incollable sur les noms des dinosaures et leurs caractéristiques physiques à 3 ans, ainsi que les différents types d’engins de chantier, et nous reprenait si nous nous trompions. Toujours à 3 ans, je me souviens d’un matin au petit déjeuner où, comme il avait les yeux dans le vague, je lui ai demandé si il m’écoutait ; « attends maman, je pense à quelque chose, tu parles trop fort pour mes idées ».

    Il était content d’entrer à l’école. En moyenne section, il me demandait souvent « pourquoi moi je sais pas lire » ou « quand est-ce que je vais apprendre à lire ». À quatre ans, c’était « quand est-ce que je serai un adulte ? ». Il a une très bonne mémoire, par exemple il se souvient plusieurs mois après du nom de l’invitée d’une émission de radio écoutée pendant un court trajet en voiture (et quand il m’en reparle, je ne vois bien sûr pas du tout de qui il parle, ce qui l’énerve beaucoup).
    Nous sommes vigilants avec les actualités : pas de journal télévisé ou de d’infos radio chez nous. Lorsque Notre Dame a brûlé, je ne sais plus comment il l’a apprit, en tout cas il était fasciné. Un an après il m’en reparlait à l’occasion d’une conversation sur Paris « mais maman, je ne pourrait jamais savoir pourquoi la cathédrale a brûlé si je ne vais pas à Paris ». Il a apprit à lire pendant le confinement avec les alphas que nous avions à la maison et en me demandant quels sons faisaient telle ou telle lettre. Il aime les encyclopédie (les moyens de transports et les animaux principalement) et feuillette son album panini du Tour de France à longueur de journées.
    Il est gêné par le bruit depuis qu’il est bébé : il hurlait si nous entendions un instrument de musique ou un bruit fort. Nous avions mis ça sur le dos de ses otites à répétition. Aujourd’hui il se bouche encore les oreilles pendant un spectacles (où il a souvent peur), ou si quelqu’un tousse fort par exemple. Je le préviens quand j’utilise un sèche cheveux ou un mixeur (il change de pièce), et il déteste les sèches mains.

    En fait, ce qui m’inquiète aussi en ce moment c’est le retour des cauchemars et des difficultés d’endormissement. Il a peur « à retardement » d’un dessin animé, de ce qu’un petit camarade lui a raconté, d’un volcan qui pourrait entrer en éruption, etc. Ou comme en ce moment « du monsieur qui fait manger des piments dans Fort Boyard » (qu’il a regardé une fois avec ses cousins il y a plusieurs mois). Quand je tente de le rassurer ou que je le questionne, il me dit « c’est pas de ma faute, c’est mon cerveau qui n’arrête pas d’y penser ».

    Je trouve aussi qu’il se met en retrait depuis quelques temps. Il refuse fréquemment de participer à des activités qui semblent pourtant lui faire envie. La dernière fois (une piste de mini bobsleigh) il m’a dit « je suis timide, il y a trop d’enfant ». Nous avons regardé longtemps, j’ai un peu insisté, il était mutique. Puis nous sommes partis. Il pleurait à chaudes larmes 200 mètres plus loin.

    Bref, je m’arrête là, il déjà beaucoup trop long ce message !
    Je suis maintenant décidée à prendre rendez-vous avec un.e professionnel.le. Je pense que notre petit garçon a peut-être besoin de parler à quelqu’un d’autre que nous car, à nous, il confie peu de choses. Nous avons aussi besoin d’aide et d’écoute, car ce sentiment incessant de « marcher sur des œufs », d’appréhender ses réactions, nous pèse beaucoup.

    Pourriez-vous me conseiller quelqu’un ? Nous habitons à côté de Clisson.
    Merci à ceux et celles qui ont lu ce long monologue jusqu’au bout 😉
    En tout cas ça me fait du bien d’écrire tout ça, de prendre du recul dans cette période plutôt rude.

    Au plaisir de vous lire,
    Anne

  • MarieM
    Participant

    Bonjour,
    Je peux vous conseiller Veronique Burban, à Rezé. Douce et à l’écoute, elle s’adapte à l’àge de la personne en face d’elle.
    Bonne soirée.
    Marie

  • A.C.
    Participant

    Merci Marie pour votre réponse rapide, je prends note ! Savez-vous si il est long d’obtenir un rendez-vous ?
    Bonne soirée,
    Anne

  • Sylvie44
    Participant

    Bonjour, Je suis maman d’un garçon de 9 ans (en janvier prochain), il a été détecté en début de grande section. La psy qui a fait le test nous a donné un chiffre, 45 min d’explication et un « joli » rapport. Et nous a laissé repartir. Et quand nous (avec le papa) avons commencé à lire des livres, des articles, des forums etc….Quel choc !
    Nous étions perdu. Beaucoup de questions sont arrivées. Dans le comportement de notre fils, qu’est qui était lié au développement d’un enfant sans les +++ (particularités) et d’un enfant avec les +++ (hypersensibilité, besoin de parler tout le temps, l’inquiétude permanente, la gestion des émotions ….).
    Nous avons observé, lu et relu. et rencontré une nouvelle psy sur Nantes. Madame Colas Virginie (à côté de la préfecture) qui nous a aidé à dire les difficultés devant notre fils.
    Pour le bruit, nous avons eu le cas au cinéma, nous avons mis des bouchons d’oreilles en mousse (pas trop enfoncé) pour atténuer le son et la musique.
    Pour les nouvelles activités, nous rassurons au maximum en expliquant un maximum de choses, l’accompagnons le plus possible. MAIS nous savons aussi dire stop à la négociation.
    Pour exemple, notre fis s’est inscrit à une journée découverte de handball aux dernières vacances. Le matin même, il ne voulait plus y aller car il n’aurait pas de copains de l’école. Nous y sommes aller ensemble. et pendant les 30 min de trajet, ça été 30 min à le rassurer. Je l’ai laissé à 9h avec les yeux brillants de larmes. Je suis revenue à 16h, il avait un grand sourire et c’était fait de nouveau copains et avait adoré sa journée.
    Les années de 3 ans à 6 ans ont été les plus compliquées car nous n’arrivions pas à comprendre notre fils, dans sa manière de penser, de faire les choses.
    Avec beaucoup de lecture pour avoir des conseils, Notre quotidien est devenu la communication. Nous lui avons expliqué que nous lui poserions des questions pour comprendre ses demandes, et éviter que parents et enfant ne s’énervent. Cela ne marche pas toujours mais nous progressons ensemble. Bon courage

  • GG44
    Participant

    Bonsoir A.C,

    Que d’émotions qui remontent en vous lisant car vos mots me renvoient à notre histoire. Notre fils âgé maintenant de 10 ans a été diagnostiqué précoce à l’âge de 6 ans. Nous nous doutions de son haut potentiel mais n’en avions pas mesuré les tenants et aboutissants.
    C’est son comportement à l’école et son mal être qui nous ont amené à consulter dans ce cadre : il pleurait tous les matins et était à fleur de peau, triste même avec nous…Il exprimait le fait qu’il était fatigué car il avait l’impression que son cerveau n’arrêtait jamais de penser même la nuit…

    Il fallait l’aider : j’ai alors contacté un bénévole avec qui j’ai pu poser des mots. Cette personne m’a invité à lire un ouvrage (dont je ne pourrais vous donner le nom aujourd’hui) et là tout est apparu cohérent et les années passées se sont reconstituées comme un puzzle : hypersensibilité émotionnelle, olfactive, auditive ; perte d’intérêt rapide pour l’école où il s’ennuyait (il devait emmener ses propres livres car il avait épuisé ceux de la bibliothèque de l’école) ; difficultés à prendre du plaisir aux jeux des autres enfants dans la cour…etc
    Enfin, l’association m’a conseillé un professionnel qui pourrait le diagnostiquer et dans tous les cas (même s’il n’était pas précoce) l’aider : c’est tout ce qui comptait pour nous!

    Avant de prendre rendez-vous, nous lui en avons parlé : quel soulagement, il avait hâte. Je me rappelle ces 15 jours d’attente où il me dénombrait tous les jours le temps qu’il restait avant qu’il voit « le docteur du cerveau » selon ses termes.

    Nous avons eut la chance que l’école soit compréhensive aussi car alors que nous ne leur avions pas encore parlé de notre démarche, nous avions été convoqué pour un passage en classe supérieure en cours d’année suivant certaines matières car malgré tout socialement il avait « son âge » et nous ne voulions pas tout bousculer.

    La fin de l’année s’est bien passée mais nous allions déménager et nous avions la crainte qu’il aille dans une école moins adaptée, moins « agile ».

    Sur les conseils de son ancienne maîtresse, nous avions cherché une école où il serait en double niveau afin qu’il ne s’ennuie pas et c’est ce qui s’est passé : il me disait, « une oreille en CE1, une oreille en CE2 ».
    Nous n’avions rien dit à la maîtresse car nous ne savions pas comment cela serait accueilli. À la rentrée, nous avions rencontré son enseignante, mais nous avons senti une réticence à ce sujet : « de plus en plus de parents me disent que leur enfant est HP, j’aime bien me faire mon propre avis ».

    Aussi à la Toussaint, ne voulant pas que notre fils retombe dans un mal être, nous avions demandé à faire le point avec elle. Nous avions amené au cas où le bilan de la psychologue. Nous avons été ravis qu’elle nous le demande d’elle même car elle avait en effet constaté qu’il était différent et qu’elle se demandait parfois comment lui parler. Au delà de ses capacités intellectuelles scolaires supérieures à la moyenne, elle n’avait pas pris conscience de son hypersensibilité.

    Les activités extra scolaires ont toujours été compliquées pour lui aussi : le sport d’équipe n’était pas pour lui car il ne trouvait pas sa place. Pas très à l’aise dans son corps en plus, ça été compliqué de trouver une activité dans laquelle il se sente bien.

    Aujourd’hui, il est en CM2, il a des copains et mène sa vie d’enfant. Nous l’accompagnons dans sa différence. Nous communiquons beaucoup même si parfois c’est une huître et qu’il refuse d’aller consulter ou de nous parler à nous : il a une marraine à qui il se confie. Nous souhaitons l’accompagner au mieux dans sa vie d’enfant et de futur adulte. Nous sommes conscients qu’il y aura des hauts et des bas. Il a trouvé son activité : la voile. Seul sur son optimiste ou son catamaran, en lien avec la nature, il « s’éclate ! ».

    Pour tout vous avouer, l’arrivée du collège me questionne un peu et nous y serons attentifs.

    Aujourd’hui, il a préparé son discours pour être élu au conseil municipal des enfants! Si ce n’est pas le cas, nous savons déjà qu’il faudra gérer sa frustration car pour lui ce n’est pas juste une élection…

    Être précoce et parents de précoces n’est pas simple mais une fois la différence identifiée, on peut aussi ouvrir les yeux sur les aspects plus positifs : les conversations sur des sujets auxquels vous n’auriez jamais pensé, une finesse d’esprit et un humour acéré, une hypersensibilité riche d’empathie….

    Merci de m’avoir lu et espérant vous avoir aidé à ma manière.

  • FannyB
    Participant

    Bonjour, mon fils a souvent vu Isabelle Prevost stimec à Rezé de nombreuses fois, notamment quand il était petit à 2 ans. Elle suit beaucoup d’enfants précoces.
    C’est elle qui nous avait conseillé pour le test.
    Elle est de très bon conseil, vous pouvez prendre rdv sur doctolib.

    Sinon courage ! Nous pouvons échanger, mon fils a maintenant 11 ans et nous avons traversé beaucoup de choses plus ou moins facilement mais il va plutôt bien aujourd’hui.

  • A.C.
    Participant

    Bonjour,

    Je rédige ce message plus d’un an après, pour donner des nouvelles de notre fils et avec de nouvelles questions. Merci pour vos messages précédents qui m’ont bien aidé. Notre fils a aujourd’hui 6 ans et demi.

    Suite à mon premier message en novembre 2020, les journées d’école cahin-caha, les cauchemars, l’humeur maussade, la sensibilité à fleur de peau… ont persisté. Nous avons donc consulté une psychologue pendant 3 mois, ce qui lui a fait beaucoup de bien, même si il a fallut un bon nombre de séances avant qu’il se décide à lui parler.
    À l’école, la maîtresse remplaçante qui le perturbait tant à finit par partir, et le retour de l’autre maîtresse douce et à l’écoute en janvier lui a fait le plus grand bien… jusqu’au moi d’avril, où les colères et la tristesse réaparaissaient. Retour chez la psychologue.

    Et puis un jour de juin, un jour de plus a être désemparée face à ce petit garçon mutique mais visiblement mal dans ses baskets faisant une très grosse crise de rage, j’ai changé de « méthode » (le questionner ne mène à rien). Je lui ai dit ce que moi je pensais, ce que je pressentais :
    J’ai l’impression que tu ne vas pas bien en ce moment, que quand je viens te chercher tu « exploses » parce que tu as trop d’émotions. Peut-être parce que tu ne sais pas bien comprendre les autres enfant et certaines choses te rendent tristes et en colère (là il a beaucoup pleuré en se bouchant les oreilles). Je crois que tu t’ennuies a l’école et que tout ça c’est difficile pour toi. Est-ce que j’ai bien compris ce que tu ressens ? Sa réponse les yeux dans les yeux : « tout est vrai ». Bon, là c’est moi qui ai pleuré…
    Je voyais dès le lendemain la maîtresse pour lui raconter tout ceci et « vider mon sac ». Elle a été très à l’écoute, avait remarqué plusieurs de ses particularités (socialement surtout). Par contre elle n’avait pas remarqué qu’il savait parfaitement lire, à été surprise de certaines anecdotes ou paroles de mon fils (le fait qu’il me demande la différence entre infini et éternel par exemple). Dès le lendemain, elle lui faisait passer des tests de niveau et en discutait avec l’équipe enseignante. C’était la fin de l’année, il était difficile de mettre en place quelque chose. Nous avons donc attendu (avec un peu d’angoisses) la veille de la rentrée scolaire en CP, pour connaitre la répartition des classes.

    Et là, bonne surprise, il a intégré une classe double niveau CP/CE1. Les premiers jours ont été difficiles car il ne comprenait pas pourquoi il était séparé des autres CP. Aujourdhui nous constatons que cette formule lui convient bien, il laisse traîner une oreille quand la maîtresse s’adresse aux CE1, ne se plaint plus de s’ennuyer, ne nous dit plus que « l’école ça sert à rien ». C’est toujours un peu compliqué socialement (faire la différence entre une tape dans le dos amicale ou une agression physique, gérer ses réactions face aux camarades qui trichent…).

    Les choses sont plus apaisées à l’école en somme. À la maison en revanche, c’est assez épuisant. J’ai l’impression d’être de retour dans la période du « non », tout est sujet à conflit et à négociation, il est insolent, et réfractaire à toutes activités qui ne tournent autour des dinosaures.

    Je me pose aujourd’hui la question du bien-fondé du test, dans la mesure où actuellement l’école a fait le nécessaire pour qu’il se sente bien. La psychologue nous avait conseillé d’attendre ses 7 ans. Mon conjoint pense que ce n’est pas necessaire.

    Qu’en pensez-vous ?

  • Françoise
    Maître des clés

    Bonjour,

    En fait, la difficulté est toujours de comprendre le niveau réel de frustration que peut ressentir un enfant, tout en sachant que c’est difficile pour eux d’en prendre conscience car ils ont un peu l’obligation morale d’être bien au sein d’un modèle qui convient à la majorité.
    Pour votre fils, la classe à double niveau est une bonne chose mais serait peut être plus bénéfique s’il pouvait réellement suivre le cours de CE1, qui doit certainement l’intéresser davantage que le CP. Si c’est le cas, ce ne doit pas être une position confortable pour lui de devoir être en CP tout en étant plus attentif au CE1, peut être est ce une source de fatigue et de frustration ?
    Par ailleurs les enfants se contiennent souvent à l’école et expriment leur frustration à la maison…Tentez d’éclaircir cette question avec lui.
    Le test est tout à fait praticable dès maintenant et vous permettrait d’en savoir plus sur ses besoins réels. Bien sûr vous pouvez attendre mais dès lors qu’il y a une forme de souffrance, je pense qu’une réponse rapide est salutaire afin de faire le nécessaire, en fonction des conclusions du bilan, dès que possible.

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