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L’enfant brillant

Ado 17 ans et perdu…

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  • Hayg T.
    Participant

    J’écris ce message en guise d’attirer l’attention d’un psychologue, ou d’un expérimenté dans ce genre de cas, afin de trouver des réponses à toutes les questions que j’ai dans la tête depuis des années…

    • Présentation:
    Alors, je me présente, garçon de 17 ans aujourd’hui, j’ai toujours eu des doutes sur mon intelligence, voire sur celle des autres, et dernièrement que j’ai lu un article sur la précocité intellectuelle de certains enfants mes doutes se sont plus ou moins vérifiés… Mais mes questions se sont multipliées!

    Je mets en votre disposition ma biographie (de mon enfance, passant par mon adolescence, jusqu’à mon âge actuel):

    • Mes premières années:
    Déjà à un an j’ai surpris mes parents en marchant dans la terrasse, sans avoir passé par l’étape de « 4 pattes », juste à préciser que je marchais avant ça en tenant la table ou tout objet fixe que je trouvais.
    C’est à cet même âge que j’ai commencé à parler, mais toutefois avec une langue différente; je connaissais pleins de mots (les nécessaires, comme maman-papa […] et des divers), mais aussi, j’inventais des noms qui n’avaient aucun lien avec ceux du réel (par exemple pour le jus je disais « bénkin »…), je savais les noms des couleurs -les lettres et les chiffres – dans 2 langues (arménien [natal] et surtout français [appris de la télé]) même je donnais des cours de français (les couleurs-lettres-chiffres) à notre voisine (une vieille dame qui ne connaissait rien du français). Et pas après longtemps, j’ai commencé à faire des phrases.
    À la télé, je n’aimais pas regarder Dora et les programmes de tel genre mais la chaîne Animaux (mais je regardais aussi quelques dessins animés sur Tiji ou autres chaînes).
    J’étais passionné par le monde animal!

    • Ma vie scolaire (Maternelle-Primaire):
    À l’école, j’étais le meilleur de ma classe, comme l’affirmaient les institutrices, mais aussi le plus timide… Je ne jouais ou parlais presque avec personne, et ça dès la maternelle (jusqu’au 3ème, quand on m’a harcelé pour la même cause).
    À la maison, j’avais un doudou, un certain ourson blanc, auquel j’étais attaché comme s’il était mon ami…
    Aussi, je jouais à des jeux parfois jugés « plus grands que mon âge » par mes parents.
    En plus, vue que j’étais le premier dans la famille à apprendre le français, je donnais des cours à mes parents…

    • « Saut de classe », test QI, consultation de psychologue:
    Vue le système de notre école, personne ne m’a jamais prêté attention comme étant plus intelligent que les autres, on se suffisait de me dire « tu as la plus haute moyenne de la classe jamais atteinte dans l’école, bravo! », mais jamais de consultation spécialisée (à noter qu’il y a une bureau de psychologue dans l’école) ou test de QI.
    De ce fait, on n’a jamais proposé à mes parents de me faire sauter de classes.
    En plus, chez mes parents, il y a une certaine idée que les psychologues sont pour les malades, alors ils ne prennent jamais rendez-vous…

    • Ma curiosité:
    Pendant nos déplacements à voiture, j’étouffais mon père avec mes questions; « c’est quoi ça papa? », « comment ça marche cette machine? »…
    D’ailleurs je lisais aussi beaucoup d’encyclopédies pour trouver les réponses tout seul parfois…

    Les jouets (voitures et tout ne me disaient rien), je m’amusais à creuser le jardin derrière notre maison et à trouver des « fossiles de dinosaures » comme je les nommais, voire je décorais mon petit bureau de pierres que je ramassais partout…
    Aussi je faisais pleins d’expériences avec ces pierres, des fruits, et pleins d’autres matériaux…
    Et, j’avais construis une pyramide en carton avec une momie (faite de bandages médicales) dedans…
    Mais je n’étais pas beaucoup intéressé par l’espace et les étoiles qu’après un certain âge.

    • Ma passion pour certaines matières:
    En grandissant, j’ai vu que le sport n’était pas fait pour moi.
    Je me suis plutôt attaché, au début, aux physiques, mais plus tard aux sciences de la vie parce que j’ai vu le corps humain et la vie animale comme source très profonde de la connaissance.
    J’aimais l’art, dessiner était un amusement très important pour moi. Mais ceci s’est transformé plus tard à l’amour de l’écriture…

    • Ma vie scolaire (Secondaire):
    Plus j’ai grandi, plus j’ai ressenti différentes sensations envers moi-même et les autres, je me suis demandé pleins de fois si j’étais plus intelligent que les autres ou que c’était autrement que je ne comprenais pas [peut être que j’étais plus intelligent ou que c’étaient les autres qui étaient bêtes]…
    Par exemple, en classe, quand la maîtresse demande une question, qu’elle intitule « une question difficile », je connais directement la réponse, mais je ne la dis pas à haute voix de peur que ça soit fausse [vue que la question difficile nécessiterait une réflexion plus longue, je ne devrais pas trouver une réponse si rapidement]. En fait, je suis aussi perfectionniste, j’aime que tout soit juste, aligné, bien rangé, et je n’aime présenter aucun exposé s’il n’est pas comme je le souhaitais (et ceci affecte sur la vitesse de mon travail).
    Aussi, à cause de ce perfectionnisme, j’ai décalé dans ma moyenne scolaire, de mon 3ème à cette année, j’ai entre 12 et 13 /20. [Je vous explique: alors je veux toujours présenter les bonnes réponses à l’examen, et si je doute en ma réponse je ne l’écris pas… le temps passe, la cloche sonne, le professeur croît que je n’avais pas étudié, et on interpelle mes parents)

    • Ma vie sociale:
    Ce n’est que récemment que je me suis fait un ami à l’école.

    • Mes pensées:
    Parfois, sans même le vouloir, j’ai des pensées philosophiques qui me viennent à la tête; « l’existence de dieu », « l’origine de l’homme et du monde », « pourquoi aller à l’école? »

    • Mes problèmes:
    – J’ai du mal à m’endormir (et ce depuis mon enfance) parce que je ne peux m’empêcher de penser tout le temps.
    – Je suis somnambule, je parles et marches dans mon état de sommeil.
    – Je trouves parfois, quand j’ai des examens à préparer, que je connais la leçon, et je n’étudie pas, ça m’entraîne des fois des problèmes de manque d’informations durant l’examen.
    – On me croit parfois « fou » quand je décris mes pensées, même certains instituteurs et élèves « intelligents » dans mon école.

    • Mon futur:
    Aujourd’hui, étant au seuil de la vie universitaire, je voudrais me jeter dans la médecine (mais aussi dans la psychologie)

    • Test de EIP du site:
    D’après ces informations, le site donne un résultat positif de moyenne 55/60 (en adoptant le plus possible l’objectivité – j’ai demandé les informations importantes à ma mère sans la faire ressentir que je passes un test…)

    Merci de me trouver des réponses et de me conseiller au plus possible.

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