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6 janvier 2022 à 10h27
Bonjour,
Nous cherchons un pédo- psychiatre, ou un psychologue spécialisé HPI, en Nouvelle Aquitaine, de préférence dans les régions de Niort, Poitiers ou Bordeaux.
Notre enfant de 11 ans souffre de plus en plus, depuis c’est dernières semaines, d’insomnies, d’angoisses nocturnes voire d’idées suicidaires, d’une baisse d’estime de lui-même et se plaint des moqueries de ses camarades. Il perd très brusquement l’envie d’aller à l’école. Pourtant, le personnel de son collège est, au niveau de la direction, très à l’écoute et compréhensif, cependant, ce n’est sans doute pas le cas de tous les professeurs et des encadrants.
Nous pensons que son manque de sommeil, lié à ses fortes angoisses ne l’aide pas à faire face à la rudesse des « moqueries » des enfants de son âge. La moindre remarque ou la moindre inattention est peut-être vécue de façon décuplée par notre fils. Nous n’affirmons pas qu’il y a « harcèlement scolaire », mais nous savons que nous devons être vigilants.
Nous sommes très inquiets pour lui, le sentons malheureux et nous ne savons pas vers qui nous tourner pour l’aider. Il est pourtant urgent d’agir. Quelqu’un pourrait-il nous conseiller un psychiatre ou un psychologue dans la région de Niort, Poitiers ou Bordeaux? Merci. -
6 janvier 2022 à 14h31
Je ne peux vous aider n’étant pas de votre région.
Vous êtes à l’écoute de son mal être, et vous êtes vigilent pour cela bravo.
Mais je pense que si vous pouvez affirmer le harcèlement. Le harcèlement c’est la répétition, une moquerie parce qu’il a dit ou fait quelques chose, ça arrive à tout le monde, on est vexée un moment, et puis « ça passe » Mais quand c’est répété encore et encore et encore jour après jour, c’est du harcèlement, ça ne passe pas, c’est insidieux et ça joue énormément sur l’estime de soi, le moral, l’envie d’aller à l’école (on peut même voir une baisse des résultats scolaire), tout ce que vous dite montre pour moi qu’on est bien dans un cas de harcèlement.Je vous parle d’expérience j’ai vécu 5 ans de harcèlement scolaire.
Et attention qu’il ne cache rien d’autres que des paroles blessantes derrière ce mot de « moqueries » beaucoup d’enfant (dont moi) minmisent (pour épargner les parents et/ou pour que les parents n’interviennent pas dans l’école de peur que le harcèlement s’accentue peut-être aussi par « honte » en pensant ne pas être capable de se défendre…
Dites lui qu’au contraire, en parler c’est déjà une façon de se défendre et que s’ils sont plusieurs il ne peut pas gérer ça seul qu’il peut et doit tout dire.
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