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Enfants précoces : comment savoir ?

Il y a quelques jours sur la chaîne de radio RTL, l’émission « On est fait pour s’entendre » traitait des enfants précoces et des moyens de les reconnaître au milieu de leurs camarades.

Monique de Kermadec

Flavie Flament recevait ainsi Monique de Kermadec, psychologue et auteur des livres « L’enfant précoce aujourd’hui – Le préparer au monde de demain » et de « La femme surdouée » et William Réjault, auteur du livre « C’est l’histoire d’un zèbre« , afin de répondre au mieux aux interrogations de chacun.

Un à deux enfants par classe seraient dotés d’un haut potentiel. On sait aujourd’hui que comprendre leurs aptitudes et leur fonctionnement permet de mieux les aider à s’épanouir dans un monde et une scolarité dans lesquels ils ont parfois du mal à trouver leur place. Dans cette démarche, les parents ont bien entendu un rôle crucial. Alors comment savoir si son enfant est précoce ? Que faire quand on a la confirmation qu’il n’est pas tout à fait comme ses petits camarades ?

On parle souvent du test pour donner un chiffre de QI et dire « précoce ou pas ». Mais le test permet aussi de montrer quels sont les différents modes de pensée de notre enfant, ses forces et ses vulnérabilités si elle existent, et ainsi de trouver des solutions pour aider l’enfant à vivre plus harmonieusement. A 130 de QI, nous pouvons êtres douze personnes totalement différentes.

Chaque enfant surdoué est différent, et chaque profil mérite d’être pris en considération. De même, le nombre de points de QI n’est pas forcément indicateur du futur de l’enfant ou des facilités qu’il aura à avancer dans sa vie, scolaire comme professionnelle. Alors comment les accompagner ? Faut-il faire tester son enfant si on le pense surdoué mais qu’il ne présente aucun problème particulier ?

Retrouvez toutes les réponses apportées par les invités de l’émission aux questions des auditeurs en vidéo, ou en podcast sur le site de RTL, et n’hésitez à faire part de votre vécu, de vos impressions et de votre propre point de vue dans les commentaires ou sur les forums !

4 commentaires

  1. Dur dur en Belgique en tous les cas.
    Moi 40 ans passé…
    Mon fils 5 ans déjà en maternelle on nous ennuie..
    Il n’écoute pas. Il préfère faire ces choses tout seul et il les fait mieux que tous…
    La tête est en avance sur les langues sur les bricolages sur les liaisons entre les sujet… mais question sensibilité ça c’est pas facile
    Pedo psy, loguopede etc… rien ne l’aide.

    1. Mabille Huguues —- Ma mère a connu le problème avec mon jeune frère, il a appris récemment à l’âge de 40 ans qu’il était HP (haut potentiel) Comme quoi il est jamais trop tard.

    2. Oui, c’est ce que l’on appelle dyssynchronie interne : les enfants subissent un décalage entre leurs capacités intellectuelles et leur développement psycho affectif , qui est celui de leur âge et peut être plus difficile à gérer du fait d’une grande sensibilité liée à une bonne compréhension des phénomènes divers qui les entourent. Il faut donc les accompagner sur les 2 plans, intellectuel d’une part, mais ne pas négliger les besoins affectifs liés à leur âge (besoin d’être rassurés, câlinés, épargnés dans la mesure du possible de réalités trop difficiles à assumer psychologiquement). Ils restent de jeunes enfants malgré tout.

    3. Comme vous dites

      Je comprends pas que les enseignants ne soient pas formés un minimum pour non pas déceler, mais en tt cas se rendre compte qu il pourrait s agir d un enfant atypique

      Je penses que bcp d enseignants sont responsable de l échec et décrochage chez les hp qu on pourraient catalogué de « désintéressé « 

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