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Corse Enfants Précoces

BESOIN DE CONSEILS

7 sujets de 1 à 7 (sur un total de 7)
  • emy
    Participant

    Bonsoir, ma fille a été détectée HP à l’âge de 6 ans par Cédric BELLISSENS et en a maintenant 9. Elle travaille super bien mais perturbe beaucoup la classe dessine parle à voix haute… J’ai l’impression que plus ça va et plus elle s’ennuie et a de moins en moins envie d’aller à l’école. Je commence à repenser à un éventuel saut de classe ce qui avait été évoqué par Monsieur BELLISSENS sauf que l’école n’en parle pas ne voit que ce côté agité et je ne veux pas que mon interrogation soit mal interprétée. Merci de vos conseils

  • stephly
    Participant

    Bonjour,
    Mon fils a été détecté Hp l an passé, il a 5 ans. Le psychiatre m à conseillé le saut de classe mais cela été très compliqué avec l éducation nationale. Il est donc en GS cette année. Depuis qq semaines j ai l impression qu il s ennuie de nouveau… pour les sauts de classe je pense qu il faut l envisager tôt au cours de l année et peut être prendre rdv auprès du psychologue scolaire afin que la décision puisse être faite en équipe avec l éducation nationale.
    Je ne sais pas si notre petite expérience vous aide ..
    passez une bonne journée!
    Stephanie

  • Martine
    Participant

    Ma fille a été diagnostiquée HP à l’âge de 5 ans. En CM2 elle a eu de très gros problème avec une instit qui ne jurait que pas la terreur, l’humiliation et les punitions. L’éducation nationale avant d’intervenir me demandais un QI. C’était la seule chose qui les intéressait pour vous dire leur méconnaissance du sujet.
    J’ai eu à faire au Dr Bellissens pour ma fille et franchement il n’a pas été au top du tout! rapport totalement baclé, analyse éronnée en méconnaissance totale avec les particularité des enfants HP! Il n’a pas d’enfant et comme conseil il a dit à ma fille d’envoyer balader son instit et que c’était ce que lui faisait enfant! super le conseil! si j’ai un conseil changez de psy et ne comptez pas sur l’éducation nationale pour vous aider! C’est triste mais c’est comme ça.
    Nous sommes très démunis en Corse du Sud contrairement à Bastia où il y a une personne spécialisée HP qui travaille à l’académie.

    Essayez de voir quelqu’un d’autre!

    Bon courage

  • emy
    Participant

    Merci de vos conseils à toutes les 2. De mon côté je n’ai pas eu de soucis avec Monsieur BELLISSENS ça s’est bien passé il nous a donné de bons conseils et la petite a eu un bon feeling avec lui. Il lui a fait passer les tests et depuis on ne l’a plus vu puisqu’il est neuropsy et non pas psy. Il est vrai que nous sommes vraiment seuls et je ne sais pas vous mais moi j’ai vraiment l’impression d’être incomprise , quant à la petite je n’en parle même pas. La maîtresse de cette année est jeune et n’a aucune expérience de la précocité et ne cherche pas à s’intéresser au sujet. Elle pense que le saut de classe est une mauvaise idée car d’après elle la petite a quelquefois des difficultés mais honnêtement je ne vois pas ou(je parle bien entendu que du scolaire pas de concentration …), elle a 19 de moyenne et honnêtement à part quelques erreurs inattention je ne vois pas. Je ne voulais pourtant pas entendre parler du saut de classe mais là au fond de moi je commence à penser que c’est peut être la solution à cet ennui(elle adorait aller à l’école et depuis l’année dernière elle y va de plus en plus à reculons). Je ne prétends pas non plus que ce soit LA solution j’aimerais juste que l’équipe éducative en discute, de toute façon je suppose que si cela arrivait elle passerait des tests. Le but n’étant pas qu’elle se retrouve en échec scolaire…Enfin bref, l’éducation nationale et la précocité ne font vraiment pas bon ménage…

  • Françoise
    Maître des clés

    Bonsoir,

    De toutes façons il y a la lieu de faire quelque chose pour que votre fille ne désinvestisse pas complètement le scolaire. C’est surtout très important pour bien préparer son entrée au collège, pour qu’elle apprenne à travailler au sens de mener une réflexion, appliquer une démarche pédagogique, savoir réagir à une difficulté… Ceci nécessite que l’ennui’ne soit pas trop prégnant et qu’elle soit confrontée à des difficultés.
    Pour ceci il y a 2 options :
    – le saut de classe qui réglera le problème immédiat, par contre si par la suite le fond des programmes n’est pas un peu modulé pour elle, elle risque de retomber à nouveau dans une routine peu motivante.
    – la prise en charge de sa precocité et de ses besoins réels, tels que définis dans un bilan, dans sa classe tout en lui permettant d’aller plus loin dans les matières qui le nécessitent par l’apport de défis, d’enrichissement, de recherches, exposés…
    Vous pouvez tenter le dialogue quand même, en évoquant le désintérêt et l’ennui de votre fille, dire que vous avez lu les directives et les textes en matière de précocité et leur demander conseil en ne laissant pas le choix du genre : « afin de bien préparer le collège et le’futur pour ma’fille, vaut-il mieux un saut de classe ou une scolarité adaptée avec enrichissements… ou encore : que proposez vous ? Ceci en demandant une réunion institut + direction.
    En fait il ne faut pas leur laisser le choix de nier la précocité mais leur demander de vous proposer la meilleure adaptation possible pour votre fille.

  • Martine
    Participant

    J’ai aussi été confrontée à une méconnaissance totale de la précocité par l’équipe éducative… Il ne faut pas en espérer grand chose malheureusement! dans quelle école est-elle? moi sur Alata ça avait été une catastrophe et ma fille ne voulait plus aller à l’école tant ses rapports avec l’enseignante était mauvais!

  • Nathalie2B
    Participant

    Bonjour,
    Personnellement je conseille vivement de tout faire pour aboutir à un saut de classe. Mon fils a été diagnostiqué EIP que très tardivement. Dès son CP l’école avait évoqué une grande avance au niveau de la lecture et d’autres compétences mais soulignait une immaturité qui leur faisait dire qu’il valait mieux qu’il ne saute pas de classe. Ne connaissant pas la spécificité de la précocité à l’époque, j’ai suivi bêtement les conseils des professeurs qui n’en connaissaient pas plus que moi. Je ne sais pas si c’est en lien direct ou pas mais mon fils, sans que je m’en rende compte, a petit à petit désinvesti l’école. Il est aujourd’hui en 1ère mais en décrochage massif vis-à-vis de sa scolarité. Je vous conseille de prendre contact avec la référente de l’association l’ANPEIP. L’association n’est pas très active en Corse mais elle saura peut-être vous conseiller et vous orienter car, effectivement, il n’y a pas de dispositif en Corse du Sud.

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