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Comment bien gérer mon enfant précoce ?

Le site du journal Marie-France tente de répondre à cette question, pour le meilleur et pour le pire.

Comment bien gérer mon enfant précoce ?

C’est la question à laquelle tente de répondre un assez long article du site du magazine Marie-France cette semaine. Avec quelques approximations et exagérations assumées mais aussi quelques pistes intéressantes à explorer.

Évacuons rapidement les premières pour mieux nous intéresser aux secondes.

À deux mois, Junior fixe l’objectif comme un président prend la pose. À neuf mois, il marche, et, à deux ans, il résout une équation à une inconnue devant ses parents incrédules. Un tableau un peu  caricatural mais l’idée est là…

… comment être le parent d’Einstein quand, soi-même, on ne dispose pas de telles capacités ?

Il y en a d’autres du même acabit dans l’article, je vous laisse les découvrir par vous-même. Dans vos commentaires, faites-nous part des pépites que vous aurez dénichées.

Au milieu de cela, on trouve tout de même quelques indications utiles, comme celle-ci, qui touche au sommeil des petits précoces.

Car l’intelligence de l’enfant zèbre s’accompagne souvent de troubles anxieux liés à l’hyperactivité neuronale. « D’où l’intérêt du diagnostic, pour l’aider, au niveau du sommeil, en limitant à deux les sujets d’exploration le soir, et en réduisant l’activité lecture ou le temps du rituel », recommande Béatrice Millêtre, docteur en psychologies.

Ou encore :

« Ses centres d’intérêt n’étant pas ceux de son âge, il peut préférer jouer seul. À ses parents de lui apprendre que les autres ne sont pas bêtes parce que non précoces. À eux de lui inculquer les bienfaits de la différence », souligne Béatrice Millêtre qui voit en consultation des enfants HPI élevés en singes savants, que l’on épuise de cours renforcé en stage intensif. Les parents réjouis veulent optimiser leur surdoué comme un engin de course. Et là, on lui colle en plus une anxiété de performance…

Au final, voici encore un article qui colporte pas mal de clichés et de généralités auprès du grand public, même si un travail de recherche certain a été effectué par son auteur. Sans doute atteint-il son objectif éditorial, pas sûr cependant qu’il fasse avancer dans le bon sens la cause des enfants précoces.

Lire l’article en entier sur le site Marie-france

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