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A 7 ans, ce jeune surdoué va à l’université une fois par semaine

Jeune ressortissant surdoué des Pays-Bas, Laurent Simons bénéficie d’un entourage qui a pris la mesure de ses capacités et de ses besoins.

A 7 ans il va à l'université une fois par semaine

La presse nous présente régulièrement des enfants hors normes qui bénéficient d’aménagements et de dispositions particulières, en accord avec leurs compétences et leurs besoins. C’est aujourd’hui le cas de Laurent Simons, jeune Belge vivant aux Pays-Bas âgé de 7 ans et doté, nous dit-on, d’un QI de 145.

Cela semble être la loi du genre, on n’échappe pas aux clichés dans l’article du site Levif.be, pompeusement intitulé « Chercheur universitaire à 7 ans ».

Il n’a que 7 ans et vient d’obtenir un poste de chercheur dans une université néerlandaise. C’est le plus jeune chercheur au monde. Voici Laurent Simons, cet enfant qui a tout du génie.

Mais l’important n’est pas là. En réalité, Laurent a la chance de pouvoir bénéficier chaque semaine d’une journée passée au sein d’un laboratoire de l’université d’Amsterdam, grâce à l’esprit d’initiative de ses parents.

On lui a donc fait un tablier blanc à sa taille, car il n’en existait pas. Il apprend à lire un électrocardiogramme et de quelle manière il est fait. « Il cherche encore dans quel domaine il aimerait s’orienter, mais cela aura probablement quelque chose à voir avec la cardiologie » dit son père dans De Morgen. « Ses grands-parents sont cardiaques et ce sont vraiment des personnes qui lui sont très chères. Il rêve de pouvoir les aider. »

Il a aussi, en passant, été invité par l’université d’Oxford pour un congrès sur la médecine. « Au moins, là il s’amuse et s’épanouit » dit son père. « Qui est-on pour faire de la discrimination sur base de l’âge ? « 

Cet exemple et la suite de l’article démontrent qu’avec un peu de bonne volonté, il est possible de satisfaire les besoins d’un enfant particulièrement doué. Le cas de Laurent n’est sans doute pas transposable à l’identique pour tous les jeunes surdoués. Celui-ci a bénéficié d’un entourage familial qui a su très tôt favoriser son épanouissement et prendre des mesures adaptées. Tous les parents ne sont pas nécessairement armés pour en faire autant. C’est une bonne raison pour militer toujours et encore afin que l’école remplisse son rôle et offre à chaque enfant précoce les moyens de valoriser sa personnalité et son potentiel.

Lire l’article en entier sur Le vif.be

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